L'ordre de la rose morte
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 Parchemins anciens d'une vieille confrérie

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Carmatine
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MessageSujet: Parchemins anciens d'une vieille confrérie   Parchemins anciens d'une vieille confrérie Icon_minitimeLun 3 Nov - 23:28

Voici trois parchemins anciens retrouvés dans les catacombes d'une ancienne organisation ayant lutté jadis contre les bworks, comme nous aujourd'hui. Cette organisation se faisait appeler la Confrérie d'Ilyasviel, et voici trois documents. Le premier, extrait du livre "Ilyasviel, les Noubes et le S'mesme" a été écrit par leur Grand Prêtre, Destra Von Patapouf. Le second est un extrait de la biographie d'Osfrid Von Patapouf, père de Destra, et Grand Meneur de la Confrérie contemproaine, dont la disparition est encore inexpliquée sur notre Monde. Le troisième document semblerait être un extrait d'observations d'un de leur ancêtre, Hercule Von Patapouf, qui relaterait l'apparition du S'mesme dans nos contrées. Un document important donc...


Et ci-contre, une gravure retrouvée de la divinité adorée par cette confrérie : Sainte Ilyasviel, considérée comme al treizième Déesse du Monde des Douzes : Déesse de l'anti-sms.


Parchemins anciens d'une vieille confrérie Confrerilasvielbc2

(Craette en Billréole et Cape Cérémoniale, avec dans une de ses mains le blason adopté par la guilde ^^)

Parchemins anciens d'une vieille confrérie Photo_10
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MessageSujet: Re: Parchemins anciens d'une vieille confrérie   Parchemins anciens d'une vieille confrérie Icon_minitimeLun 3 Nov - 23:48

Spoiler:

Préface


Cet ouvrage est composé à partir de notes retrouvées dans les bibliothèques de Bonta et d'Amakna, retrouvées aussi sur des roublard, et divers autres individus peu recommandables, qui pensaient sûrement que ces papiers avaient uen grande valeur. Ils n'avaient pas forcément tort.

Moi, Destra Saturo Menardi Celiandre Von Patapouf, ait mis tout mon coeur et ma force pour retrouver ces fragments de la vie de notre Protectrice. Elevée par notre Confrérie au rang de Déesse, on savait jusque là peu de choses de la vie mortelle d'Ilyasviel, les faits réels qui s'y étaient déroulés. En réalité, l'élève direct d'Ilyasviel, Reklawyks Adoy, avait consigné la vie d'Ilyasviel dans un ouvrage éponyme. Mais le temps, les pillards et d'autres évènements firent que les morceaux de cet ouvrage furent éparpillés, alors que l'enseignement d'Ilyasviel se perdait dans les méandres du néant, et que la Confrérie qu'elle avait fondée se dissloquait. Aujourd'hui, quelques siècles après, la Confrérie vit de nouveau. Afin d'honorer la mémoire de notre Gardienne, j'ai retrouvé suffisemment des fragments du livre de Maître Adoy pour retracer dans ses grandes lignes son histoire.



-Destra, Grand Prêtre de la Confrérie d'Ilyasviel




Ilyasviel, les Noubes et le S'Mesme


Parchemins anciens d'une vieille confrérie Ilyasf10



Notre histoire commence le 9 Martalo d'une année révolue depuis longtemps, passée dans l'oubli depuis 3 sicèles. Deux parents, Ykcaj Heilig, un sacrieur, et sa femme Ruhtra, fécaette, mirent au monde une ravissante Craette qu'ils baptisèrent Ilyasviel, surnomée Ilya. Celà se passait en Amakna, à une époque calme, mais déjà surchargée d'aventuriers en tout genre. Heuresement, la famille Heilig habitait le Château du Roi, enfin, ses environs, la ville fortifiée. L'endroit était plus sûr donc que le village. Paysans simples, ils étaient cependant directement rattaché au château car ils travaillaient uniquement pour le Roi de l'époque. Mais un jour qui ne ressembla pas à un autre, alors qu'Ilyasviel était encore en bas-âge, les armure de Ruthra ne purent la sauver d'une poutre mal positionnée qui s'abatit sur elle dans un charnier très descriptible, mais dont on passera les détails plutôt sordides. SI petite, et déjà Ilyasviel perdait sa mère. NE lui restait plus qu'Yckaj, qui jura de l'élever convenablement.

Ilyasviel grandit petit à petit, et appris à se servir d'un arc. Son père, depuis la mort de Ruhtra, buvait. D'abord un peu, pour noyer le chagrin, mais petit à petit il s'y était accoutumé, et finissait certains soirs complètement bourré. Fort heuresement, il ne battait pas sa fille (manquerait plus que ça ouais). A cause de l'alcool, Yckaj perdit son emploi au château, et dû se résigner à aller travailler dans le nord.

"Ch'est le Nôôôôôôôôrd" rapport Yckaj, un soir à sa fille, alors qu'il était de retour à Amakna. "Les gens ils parlent bizarr'ment, ch'est incompréhenchibleuh !" Yckaj le malheureux travaillait, vous l'avez compris, à la taverne d'Astrub. Et là-bas, il côtoyait les individus d'une espèce qui se répend comme une lèpre sur notre beau monde : les Noubes.

Chaque week-end, le soir rentré, Yckaj semblait différent, aux yeux de sa fille, qui avait d'ailleurs réussi à se faire engager parmis les apprentis archers du Roi, à l'âge de 15 ans. Yckaj semblait changer irrémédiablement... comme une évolution, mais à l'envers. Le climat malsain d'Astrub déteignant sur lui... au début, le sacrieur racontait les plus horribles choses sur Astrub : sa population de Noubes, au comportement plus qu'immatûre, son langage dérivé du bwork, le S'Mesme. Mais sur la fin, lorsque Yckaj revenait au foyer, il s'exprimait d'une manière un peu... confuse.

"Alor ma fiyète, tuma préparé a boir? Fo kje fass un truk pr le tavernié"

Cette dégénérescance attristait Ilyasviel, car c'était bien pire que l'alcool. Un coup même, elle voulu forcer le château et aller voir le Roi pour le supplier de reprendre son Père. On l'empêcha évidemment, mais le Roi lui envoya une lettre, comme quoi la population d'Astrub ne représentait aucun danger.

Enfin, ce qui devait arriver arriva : Yckaj, sourd, devenu aphone à force d'hurler continuellement, finit par mourir, écrasé par une dragodinde dont le propriétaire, assourdi par le vacarme astrubien, avait perdu le contrôle. Ilyasviel fut énormément attristée par cet évènement, survenant la veille de sa majorité. Rien de plus triste qu'un anniversaire ou l'on enterre son paternel à côté de sa mère morte presque 15 ans auparavent. Ilyasviel commença lentement à ne plus pouvoir se débarasser de son chagrin, et celà se ressentait dans l'exercice de ses fonctions : ses tirs étaient de moins en moins puissants, de moins en moins précis. Jusqu'ua jour où elle craqua, et demanda quelques jours de permission. Ses chefs lui accordèrent évidemment, car ce n'étaient point des brutes.

En fait, Ilyasviel voulait savoir... comment une cité aussi énorme qu'Astrub pouvait avoir une telle influence sur la vie des gens. Elle alla donc en marchant jusqu'à Astrub pour en avoir le coeur net, et faire enfin le deuil de son père. Arrivée sur place... quelle ne fut pas sa surprise. Les Noubes du coin allumèrent soudaine une haine en Ilyasviel, une haine totale et implacable. Elle sortit son arc, se mit en joue, prit une flèche dans son carquois, et puis tira. Sur un noube qui vendait alors il paraît un "DOFU DUNE GRENDE VALEUR PLUSSAIN AN VIT". Le vendeur à la sauvette se prit la flèche dans la gorge, et s'effondra sur le sol, incapable de parler plus logntemps.

La légende transmise dans la Confrérie raconte qu'Ilyasviel, pris d'une crise démentielle, aurait tué 25noubes avant d'être emportée en prison par les kérubims locaux. La réalité est à ce jour inconnue, mais suelement au nombre des morts. Nous savon bel et bien, cr celà a été archivé par les greffiers de l'époque, qu'Ilyasviel Heilig a tué un nombre assez conséquent de passants innocents.

Ilyasviel eut droit à un procès, à Amakna. Ses anciens supérieurs voulurent la raisonner, lui dire de se reconnaître coupable, de s'amender auprès des Dieux pour ce massacre, et de revenir dans l'armée du Roi. Mais elle refusa, décrétant qu'elle n'aurait de cesse de tuer tous les noubes qu'elle rencontrerait. Elle fut jetée dans les geôles croupissantes du Port de Madrestam.

Mais alors, l'incroyable arriva : ce qu'elle avait fait était arrivé jusqu'aux oreilles d'un certain Reklawyks Adoy, prisonnier lui aussi pour avoir tabassé un passant qui l'aurait, selon ses dire, insulté dans une langue étrangère, et aussi d'un autre prisonnier, un certain Maynek Hanpfe, réputé extrêmiste jusqu'au bout dans tout ce qu'il faisait. Les deux prisonniers écoutèrent attentivement le récit d'Ilyasviel sur l'horreur que représentait le S'mesme, et les Noubes. Maynek décrèta alors immédiatement que les Noubes représentaient une menace pour la contrée, car ils allaient complètement abrutir la population du monde entier. Il fallait réagir. Ilyasviel, Reklawyks et Maynek s'associèrent donc, et s'entendirent pour lutter efficacement contre l'invasion des noubes (les idées de Maynek étant montés à la tête des deux autres.)

Avec un peu d'astuce, les trois réussirent à s'évader, et prirent conscience qu'ils étaient hors-la-loi, au même titre que le Clan des Roublards du coin. Maynek décida qu'ils étaient arriévs jusque là, qu'il serait donc stupide de faire les choses à moitié.

Ainsi Nacquis la Confrérie d'Ilyasviel, surnomée à l'époque Confrérie d'IRM (les initiales des trois fondateurs.) Complètement illégale, elle rassembla dans l'ombre des gens qui avaient conscience de la menace noube, de plus en plus grandissante chaque jour. Au fil des années, la Confrèrie était alors devenue une sorte de petite armée d'une centaine de personnes, toujours illégale, mais d'une influence souterraine non-négligeable. Les trois fondateurs avaient élu domicile dans un souterrain du village d'Astrub, près de la fontaine. Souvent, ils s'y retrouvaient pour décider de quel noubes assasiner discrètement, qui kidnapper dans l'ombre, qui voler, qui tuer, bref, tout un tas d'actions illicites servant à saper le pouvoir grandissant du S'Mesme.

Jusqu'au jour où ce que craignaient les membres de la Confrérie arriva : les noubes, surpeuplant Astrub, décidèrent d'envahir le château d'Amakna et d'évincer le roi. Grâce à un excellent réseau d'informateurs, les membres de la Confrérie furent au courant avant tout le monde, et se tinrent prêt devant les murailles d'Amakna avant tout le monde, ce qui surpris le roi et son armée.

La bataille qui s'en suivit alors a été étouffée par les livres d'Histoire, mais elle est incontourbale dans celle de la Confrérie, d'histoire. Sur cent membres de la confrérie, beaucoup moururent (car les noubes peuvent être des gens extrêmement forts) Parmis eux, malheuresement, Maynek Hanpfe. MAis Ilyasviel et ses confrères parvinrent à renvoyer les noubes hors d'Amakna, ce qui leur valut la gratitude (discrète dans l'Histoire donc) du Roi en place. Ils furent grâciés de leur crime, et la Confrérie d'IRM fut reconnue officiellement, ainsi que la menace noube contre laquelle elle luttait.

En l'honneur de Maynek, Ilyasviel fut nommée Protectrice de la Confrérie, Gardienne et Meneuse éternelle de l'esprit Anti-S'mesme, et la Confrérie prit son nom. Reklawyks devint son élève. Car Ilyasviel prit la Confrérie en main, et se mit à enseigner à ses confrères, et à chaque nouvelle recrue qui rejoignait les rangs de la Confrérie, la haine des Noubes, et leur danger sur l'espèce humaine. Chaque nouvelle recrue se voyait acceuillir personellement par Ilyasviel en personne.

La légende raconte ensuite, mais celà reste désormais impossible à vérifier, que la rage d'Ilyasviel c'était transformée en une bonté incroyable, et en un amour quasi-maternel pour tous les membres de la Confrérie. Un blason aux couleurs des éternels habits de la Craette fut adopté officiellement. On dit d'elle qu'elle était alors absolument ravissante et acceuillante dans ses abis flambants neufs, et que ce soudain revirement la faisait passer parmi les êtres les plus bons de la planète.

On dit aussi qu'elle mena de nombreuses batailles avec son arc. Qu'elle mourut relativement jeune, à 30 ans, alors transpercée d'une flèche empoisonnée en plein coeur. La légende raconte que malgré celà, elle continua de se battre, une auréole au-dessus de sa tête, jusqu'à ce que l'assaut qu'elle menait soit terminée, et qu'une fois cette fin arrivée, elle put s'effondrer, la conscience tranquille.

Ceux qui à l'époque (et Maître Adoy le premier) virent l'auréole et crurent en son existence en déduisirent qu'elle avait été élevée au rang de Déesse. Ceci est un sujet à polémique, parmi ceux qui reconaissent en elle la Déesse de la bonté, ou la simple mortelle qui combattit vaillamment les noubes.

Une chose est sûre, c'est que la cission entre ceux qui croyaient à la Déesse et ceux qui ne voyaient que la mortelle finit par effriter la Confrérie. Les biens de la Confrérie furent éparpillés, et peu à peu, la Confrérie s'éteignit, jusqu'à ce que plus personne n'en fasse partie. Ainsi fut abandonné l'héritage d'Ilyasviel.

Postface


Nous savons aujourd'hui que les noubes ont envahit tout le continent, et même les îles au-delà des mers. Peu de gens pensent que la Confrérie d'Ilyasviel, si elle avait survécut à l'époque, aurait réussi à contrer cette expension. Il est permis d'en douter. Mais lorsqu'Osfrid Von Patapouf, qui est mon Père, a retrouvé les vieux parchemins de la Confrérie et a su qu'un de nos ancêtres, Keredydded Von Patapouf, en a fait partie, il a décidé de la refonder. Les membres actuels de la Confrérie d'Ilyasviel sont ceux qui reconaissent en eux son statut de Treizième Déesse du Monde des Douzes : Déesse de l'Acceuil, mais aussi et surtout, de l'Anti-S'Mesme.



-Grand Prêtre Destra Von Patapouf
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MessageSujet: Re: Parchemins anciens d'une vieille confrérie   Parchemins anciens d'une vieille confrérie Icon_minitimeLun 3 Nov - 23:53

Spoiler:


D'après le grand historien Hercule Von Patapouf, un manuscrit taché de vieux vin aigre relate des choses qui n'ont jamais été portées aux oreilles de la plupart des lèttrés qui eurent accès aux archives royales d'Amakna. Ces documents ont été conservés pieusement pendant de longues années dans un endroit tenu secret pour tous et protégé par ce qu'on nommait "les foudres des douze Dieux". Il n'existe pas de nom pour parler de ces choses pour la simple et bonne raison que leur dernier recours pour exister était de n'être connues de personne. On a donc interdit d'utiliser ce qui les désignait afin que personne ne puisse en parler. La locution interdite fit effet, et d'année en année, même les plus vieux Enutrofs avaient fini par oublier ces quelques mots. On s'est longuement demandé ce que pouvaient contenir les lignes de ces mroceaux de fibres jaunies par le temps, beaucoup d'hypothèse furent émisent s'évasant de 'la recette de la soupe de "Champchamp" à l'emplacement du tristement célèbre "Oggrest". Bien entendu, tout cela n'était que spéculations sans fondement et qui ne donnèrent jamais lieu au moindre semblant de recherche. Il est facile de croire que le roi Allister lui-même n'a pas conscience de l'existence au plus profond des caves de son royaume de ces documents, ce secret existe toujours meme s'il n'est plus rien pour personne d'autres que ceux qui le protègent...

Le cercle de ceux qui connaissent la longue et complexe histoire de la Confrérie or et pourpre savent de quelle façon chut la déesse suivie par l'un des fondateurs. Rien ne relate comment est mort le troisième d'entre eux. Ou peut-être... Si.
Si vous cherchiez dans une des anciennes oubliettes couverte de mousse verdâtre moisissante, quelque part sous le château d'Amakna, que vous appuyez sur les briques sombres portant chacune un des douze signes d'Ilyasviel, vous mettriez la main sur ces fameux parchemins dont on a oublié le nom. Ceux-là relatent l'histoire interdite de la Confrérie, mais aussi, le destin du troisième fondateur, l'oeil de la pensée anti-S'mesme: Reklawyks Adoy.


Nous sommes deux ans apres le décès d'Ilyavsiel et Mynek... Abandonné de tous les membres cupides et querelleurs, qui avaient finit par dissoudre la communauté, le maître d'armes Reklawyls errait dans les contrées, psalmodiant à qui voullait l'entendre les dogmes solides d'une religion éffondrée. Il fut rapporté dans de nombreux rapports de patrouilles Bontarienne et Brâkmarienne que l'homme était craint, ayant perdu la raison, rongé par la solitude et le désespoir il avait passé sa fureur sur tout ce qu'il rencontrait. Il devient un ennemi redoutable pour tout à chacun essayant de traverser la grande Plaine de Cania ou encore la Lande de Sidimote en cherchant "kelkun pr xpé". On raconte qu'il éventra près de mille aventuriers s'messeurs, fou de haine et aveuglé par ses souvenirs qui lui faisaient office de vie. A crépuscule de son existence, devenu avide de magie ténébreuse, il tenta un envoûtement sur son testament et ses mémoires... Celui qui les lirait devrait prouver sa valeur ou mourir... Le testament fut dévoré par un Ouginak qui eut la forte mauvaise idée de déchirer le haut-de-chausse de Reklawyks, ce qui le conduit à de mourir crucifié à la montagne des Koalaks. On dit que les parchemins furent perdus. Mais comme vous le savez maintenant ils ne l'étaient pas pour tout le monde... On pense qu'une patrouille Brakmarienne trouva le corps sans vie de Reklawyks dans un cercle orné de treize, et non-pas douze, graphèmes et que ces mêmes gens récupérèrent les écrits subsistants. De guerres en guerres, plus personne ne fut capable de dire comment ils sont arrivés jusqu'aux geôles d'Amakna, mais que ce retour aux sources, avait quelque chose... De prophétique.


Bien des années plus tard, Hercule Von Patapouf, forant dans les sous-terrain du château du roi de l'époque à l'aide de Craqueleurs domptés et sous l'emprise de charmes Osamodas, tomba nez à nez avec le rien du tout d'une salle vide, et affranchie de tout accès. Pensant tomber sur une crypte ou une nécropole, qui eut forcément été infestée de Chafers et autres zombis, l'historien-archéologue à la barbe fournie décida de la reboucher, craignant pour sa vie. Il ne fit pas état du parchemin qu'il y avait trouvé et recopié avant de le reposer à sa place. Il eut été difficile de toute façon pour lui d'en saisir le sens, l'écriture utilisée n'étant pas connue de lui malgré ses diverses maîtrises en matière de vieilleries. Il le transmit en secret à son fils Kerydydded Von Patapouf qui passa sa vie entièrre à la déchiffrer, mais qui mourut dans d'étranges circonstances à une ligne de la traduction totale. Il est vrai que recevoir une péniche en Kokoko sur la tête en plein milieu d'une bruyère, c'est étonnant.


Encore des années plus tard, le truculent et tonitruant Osfrid Von Patapouf, gros barbare excentrique nourrissant une haine acerbe pour les s'messeurs sans bien savoir pourquoi, hérita de ce parchemin traduit. L'histoire, la malédiction de maître Adoy, la Confrérie, ces choses étaient maintenant claires pour lui, inexistantes pour le reste du monde, troublantes sans aucun doute. Ses pàs le menèrent sur les traces de la déesse tombée au combat, Sidimote lui semblait vaguement familière, comme si un vieil ancêtre y était déjà allé...
Quand il tomba, trébuchant sur sa barbe pour la douzième fois de la journée, ce fut pour heurter violent une tombe ornée de symboles et de leur traduction dans sa langue. Trépidant, il sortit le parchemin, il venait de comprendre la fin de l'histoire. Le sol sembla s'ouvrir sous ses pieds et une péniche en bois d'Oliviolet reçue sur la tête n'aurait pas eu un effet différent. Elle se tenait devant lui, son regard flamboyant le scrutant profondément, d'immenses ailes immaculées virevoltantes délicatement dans son dos, ses longs cheveux d'un noir de geais reflétant la coruscante auréole de lumière. Vaporeuse et indistincte, il apercevait au travers elle le reste du paysage, ainsi il en déduit qu'elle n'était pas là où il la voyait, mais ailleurs. Il béggaya:

<<-D...Déesse Ilya ?>>

Elle sourit en inclinant la tête, une larme cristalline s'écoulant de son oeil mais n'atteint jamais le sol, s'évaporant à peine eut être glissé de son visage doux. Sa beauté le frappait, mais quelque chose d'autre résonnait en lui, il sentait une présence moins distincte que cette apparition, mais nettement plus inquiétante. Il fit volte-face pour se trouver face à un vieil homme au regard fou qui brandissant une lame aiguisée et brillante . Esquivant de justesse le coup, il le reconnut, c'était la même personne que sur la tombe: Adoy, vivant ou pas, il était menaçant. Et le combat fut engagé. Aux termes de plusieurs heures de lutte, le maître s'effondra, ensanglanté et enroulé dans un cocon de ronces. Son corps ne fut jamais retrouvé, Von Patapouf eu beau le chercher, rien n'y fit, les Corbac du coin n'avaient pas eu le temps d'approcher pour se repaître de la chaire fraîche, rien n'expliquait donc ce mystère. La première apparition le contemplait toujours, d'un air nettement plus impressionné. Elle glissa dans sa grosse pâte poilue une pierre transparente cabossée mais qui semblait irisée de l'intérieure: ce qu'on appelle "Guildalogeme". Sa mission semblait très claire à présent ; s'il était bien celui qui avait été choisi, c'était à lui que le flambeau éteint de la déesse était remis, c'était à lui de remettre d'aplomb l'ancienne Confrérie sacrée... Il le fit, combattant corps et âme contre les s'messeurs, elle était devenue sa raison de vivre.
On dit encore qu'aujourd'hui, le vent glacial du haut des falaises qui agresse jusqu'aux os des plus braves des guerriers qui s'y rendent, est l'écho de la malédiction d'Adoy... Les érudits, les ovates et les illuminés laissent entendre que c'est un chant. Ceux qui le savent vraiment, n'en disent mot, mais tous ont déjà versé une larme à cet endroit et l'ont entendue comme il se doit qu'elle soit entendue.
Osfrid a déjà laissé entendre qu'il revoyait parfois la déesse, mais personne ne sait si ceci est vrai ou simplement le fruit de l'imagination du gros guerrier. Le grand prêtre d'Ilyasviel, tout averti qu'il est a déjà affirmer que "ça n'aurait rien d'étonnant ", peut-être que lui seul avait remarqué cet éclat dans les yeux de son chef. Ou pas. Il reforma la confrérie et l'étendard doré et pourpre reparu bientôt... La légende pouvait reprendre. Le culte aussi.
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MessageSujet: Re: Parchemins anciens d'une vieille confrérie   Parchemins anciens d'une vieille confrérie Icon_minitimeMar 4 Nov - 0:09

Spoiler:


26/10/124:

J'ai constaté à nouveau que les ossements précédemment récupérés ne pouvaient appartenir au fameux Déjaded étant donné qu'ils ne suffisaient pas à remplir la carcasse un d'un bouftou empaillé que je me suis empressé d'utiliser afin de prouver ceci. Mes recherches continuent quant à la provenance de ces os.

29/10/124:

Ce matin, alors que j'allais entamer ma troisième sieste du jour sur le chantier du village détruit de Sidimote, que l'on nomme Gisgoul où nous travaillons déjà depuis deux semaines, je me suis vu contraint d'abandonner mes Enutrofs occupés à creuser suite à la réception d'un Mayleuh, le fameux courrier Tofuesque. Celui-ci indiquait qu'on avait peut-être découvert la source de contamination qui contribuait à la déchéance d'Astrub, qui comme le dit la légende, n'a qu'un défaut: ne brûle jamais. Les écrits provenaient de mon cher de chantier qui était resté sur place, touché par la grippe du Piou. Ainsi donc je m'y suis rendu mais mes collègues ne semblaient plus être là. J'ai donc entammé une sieste sous un arbre.

30/10/124:

Des hurlements étranges ont résonné jusque tard dans la nuit, pourtant il ne me semble pas que les Kwoans aient migré jusqu'à Astrub, du moins si c'est le cas je n'en ai pas été informé. Pour l'instant, rien n'a bougé et surtout pas moi, comme nous étions un beau Samedanche je suis allé me baigner dans le lac du village pres de la poissonnerie. Je n'ai rencontré personne hormis une jolie Sramette qui n'a fait que passer à toutes jambes, cela dit, depuis, je ne retrouve plus mon cher bâton.

31 30/10/124: deuxième session

Cette nuit, Jean-Pierre, le directeur de chantier de mes Enutrofs est venu me trouver en sueur, il avait perdu son dentier et beyagait affreusement, j'ai dû lui confectionner une dent en taillant une pierre de craqueleur pour qu'il puisse articuler, il tenait des propos étranges, il disait que la contamination était plus grave que ce que l'on pensait et qu'il fallait que je vois quelque chose dans la grotte de l'hotel de vente des mineurs. Nous y sommes allés en contournant les endroits d'où provenaient les cris stridents pour finalement parvenir à l'antre rocheux humide et sombre. Armés d'une torche crépitante aimablement allumée par un cra qui mendiait et à qui on a promis quelque Kamas en échange d'une flèche de feu, nous sommes entrés. L'odeur était fort déplaisante, je compris bien vite pourquoi, un iop était attaché à un poteau. Jean-Paul et Jean-Luc, deux ouvriers étaient là aussi.

Jean-Pierre m'expliqua qu'il était contaminé par le fléau dénoncé par une certaine Ilyasviel, gourou d'un mouvement sectaire d'Amakna qui commençait à devenir une priorité pour la milice. Le iop avait l'air aussi crétin que la moyenne et tout aussi bon à rien, ça n'était pas plus étonnant que cela, mais nous fûmes fixés tout de suite quant à la gravité des effets de cette maladie inexplicable quand il parlait. De ce que j'ai pû comprendre j'ai noté ceci: <<Ainetéaim salle 'aif' des pieds, jeu te Enrique ta race, espèce deux bas tard, jeu connais hein mot des rat heures.>> incompréhensible, ses propos semblaient entrecoupés et ssié sciés de bout en bout.

1/11/124:

Le fléau est transmissible !

2/11/124:

Je n'ai pû écrire hier parceque nous avons dû évacuer la totalité de nos équipes encore situées à Astrub après que Jean-Luc ai mordu le Péki de Jean-Pierre, lui aussi baragouinait les inespsies du Iop qui s'était libéré pendant la nuit avec le concours d'un Sram contaminé avant de s'entretuer avec lui. Nous ne sommes pas parvenus à identifier la façon dont la maladie se repend, j'ai décidé de rencontrer Ilyasviel, elle-même, qui semble s'intéresser de près au phénomène depuis un certain temps alors que nous n'y faisons face que depuis quelques jours.

3/11/124:

Je suis à Amakna en compagnie de Jean-Pierre et Zo-Virax, un Eniripsa qui a été mordu par un Ecaflip contaminé et se transforme petit à petit, mais modère les effets en se soignant. Nous avons imaginé que l'Eniripsa pourraît nous éclairer sur l'origine du fléau, mais lui-même n'en savait rien, il disait d'ailleurs que s'il le savait il serait parvenu à se soigner au lieu de pallier aux déformations.

4/11/124:

Nous n'avons trouvé aucun des membres de la secte et l'Eniripsa est mort. Il s'est jeté dans la gueule d'un Milimulou alors qu'il ne parvenait plus à articuler, dernier stade de la contamination avant la transformation en...autre chose. Après une sieste commune nous sommes allés au château rencontrer Calisson, le roi, mais il n'a pû accèder à notre demande, occupé par quelques choses quon qu'on ne nous a révélés.

4/11/124: deuxième session:

J'ai reçu ce soir un Mai Mayleuh des ouvriers de Gisgoul, l'un d'entre eux commence à avoir d'étranges comportements, il utilise à tort et à travers des attitudes désagréables et odorantes en bégayant, j'ai immédiatement répondu en ordonnant une évacuation totale du secteur, la fin des recherches et la mise en quarantaine de l'intéressé... J'ai peur pour eux et pour nos travaux, tout ce temps passé à fouiner dans la tourbe acide de Sidimote réduit à néant...

5/11/124:

Je n'ai plus d'informations en provenance du campement de Gisgoul, je commence à croire que le fléau se repend bien plus rapidement que ce que l'on imaginait, on dirait que même les guerriers les plus hardis sont vulnérables à ceci, de la race de ceux qui tuent des Meulous pour s'amuser dans l'immense Arène de Bonta, il ya des victimes contaminées mémé s'ils semblent plus résistants. Nous n'avons pas encore trouvé de membres de la secte d'Ilyasviel.

6/11/124:

Les événements du derni jour m'inquiètent, Jean-Pierre semble penser que c'est tout à fait commun, mais connaissant la nature j'ai toutes les raisons de penser qu'il s'agit d'une manifestation évidente de la dangerosité du phénomène : les monstres d'Astrub fuient !!! Nous avons croisé des Gelées qui roule-boulaient du mieux qu'elles pouvaient, tombantes dans l'eau, se collant pitoyablement les unes aux autres, des Ouginaks dont le poil rappelait celui des Prespic tant il était hérissé et même, des Dragoeufs ainsi que des Kanigrous, des Porkass et des Blops. Je crains que bientôt ne subsistent plus que quelques Tournesols démoniaques et autres Chanchamps autour du village. Un craqueleur trop pressé a pietiné un des bouftous prefèrré du roi qui faisait sa promenade, la milice a réduit la bête au silence et mangé le malheureux ovidé avant d'utiliser les pierres récoltées pour fabriquer un nouveau puis, je pense que l'excitation générale n'arrange en rien la pereg propagation de la maladie, mais pousse les aventuriers à s'exposer au danger.

7/11/124:

Nous avons découvert une grotte au sud d'Amakna, située derrière une grande bâtisse érigée vers une fontaine, il semble qu'elle soit parfois occupée pacque 'on y trouve une immense table et des ouvrages que je n'ai ouvert de peur qu'on se rende compte que j'ai déplacé les volumes. J'ai décidé de surveiller la salle et j'y fais la sieste depuis lors. Les voisins et les passants ne nous ont rien dit, un certain Don Rouan nous a posé d'étranges questions, Jean-Pierre n'a pas répondu et je me suis endormi avant qu'il ait fini de parler. Il me rappelle la légende de Jicé Aouère, mais je n'ai jamais rencontré cette personne, je commence à croire qu'il n'existe pas.

9 8/11/124:

J'ai discuté avec un Maître bolet qui jouait de la flûte en dansant avec des Kolérats, mais j'impute cette rencontre aux champignons phosphorescents que j'ai consommés dans la grotte.

9/11/124:

ENFIN ! Quelqu'un est entré, a inspecté divers endroits avant de faire entrer une douzaine d'autres personnes. J'avais vu juste, c'était bien la secte en question, je suis tombé littéralement fou amoureux de leur cheftaine, une craette magnifique à la chevelure aussi noire que le ciel de Sidimote mais aux yeux brillants comme pas une perle d'Enutrof.
J'ai patentié pendant qu'elle faisait son discours d'acceuil et j'ai toussé afin qu'on me repère, ses guerriers m'ont sautté dessus et couvert la tête à grand renfort de sacs à patates puant avant de me questionner. J'ai été sauvé par ma réputation, mon nom a heureusement traversé les fortifications de la cité et jusqu'aux profonds boyaux comme celui-ci s'est répercuté. Je comprends d'ailleurs pourquoi la milice n'a jamais découvert ce sous-terrain, sans Jean-Pierre je n'y serais pas parvenu. D'ailleurs, je ne sais pas où il est, il m'a dit qu'il était allé vérifier quelque chose à la Milifutaie mais n'est pas encore revenu.
De longues heures de discussion avec Ilyasviel en personne m'ont permis de comprendre pas mal de choses.

-Le phénomène vient d'Incarnam, une île située dans le ciel et apparue depuis quelques temps
-Le phénomène est transmissible ainsi que hautement contagieux
-On estime qu'une personne atteinte ne peut plus être soignée, il faut, soit interrompre la propapgation de ce qu'ils appellent le S'mesme avant qu'il n'atteigne le stade critique de la perte de la capacité locutive, soit l'isoler afin qu'il ne soit pas exposé à une contamination suffisament importante pour modfier sa structure.
-Les contaminés sont appelés 'Noubes' par Ilyasviel, ce qui, apparemment, est l'expression favorite des pauvres bougres atteints.
-Le S'mesme altère aussi bien les capacités intellectuelles que locutives

10/11/124:

J'ai dû me retirer, je suis impatient de revoir la belle Ilyasviel mais en attendant je cherche mon ami Jean-Pierre porté disparu depuis trois jours maintenant, ma pire crainte est qu'il soit atteint lui aussi par le S'mesme. Je me sens dans la confidence maintenant que j'ai communiqué avec les personnes les plus recherchées du royaume, je suis cependant tenté d'adhérer à leur courant de pensée, ils sont tout à fait impressionnants.

11/11/124:

Il commence à faire tres tres froid, j'imagine que la mer d'Asse est assez gelée pour accèder à l'Ile de Nowel, je pense m'y réfugier en cas d'expansion trop massive du phénomène, mais avant tout: retrouver Jean-Pierre et identifier la source d'expansion du fléau à Astrub, il arrive bien d'une façon de S'mesme !

12/11/124:

J'ai cru voir les pirates de Sufokia voguer vers l'horizon quand je suis arrivé sur place, mais il neigeait beaucoup et je peux me tromper. La ville est déserte, la taverne seule semble habiter par quelques âmes trop imbibées pour qu'elles me soient utiles, j'ai donc demandé des renseignements à propos de Jean-Pierre au tavernier qui s'est contenté de grogner en ochant de la tête. Il n'était pas passé ici. Quelques bières, siestes, bières, siestes, plus tard je me remets en route, il faut que je retourne à B Astrub, je ne trouverai plus mon ami ici, si on doit se retrouver ca sera plus sûrement là-bas.

13/11/124:

Journée plate, quelque siestes, un Raul maups mal luné qui passait par là, encore des siestes et je vais vers Astrub, la peur au ventre.

14/11/124:

J'ai fini par identifier la source de l'expansion du S'mesme, les statues qui représentent les dieux de chaque race sont un portail entre Incarnam et Astrub, la contamination se répand par cet intermédiaire via les Noubes. Rien ne semble pouvoir endiguer ce phénomène si ce n'est le blocage du flux d'immigrants, mais je crains que seul Xelor lui-même soit en position de le faire. Mes efforts concernant Jean-Pierre demeurent vaincs, je ne l'ai toujours pas revu et je penses qu'il n'est plus ici. Pour ce qui est des cris, je crois qu'il s'agit de Noubes qui braillent aux principaux hôtels de vente et alentours, la zone du Zii Zaap est concernée également, mieux vaut éviter ces endroits je crois qu'y passer seraît fatal pour n'importe quelle oreille non-Noube.

15/11/124:

Rien à signaler aujourd'hui; je me suis remis en marche vers Gisgoul dans l'espoir de retrouver mes amis même si le chantier a été totalement fugiminé. Après quelques siestes, je pense arriver au milieu de la nuit de demain si toutefois je ne rencontre personne.

16/11/124:

Arrivée à Gisgoul plus ou moins démotivante, les installations sont encore en places mais désertées de toute vie, la nature a déjà repris ses droits, j'ai du chasser deux Croq-glands qui rodaient autour du grenier à provisions, malgré tout il m'a semblé qu'un démon m'épiait dans les fourrés, peut être que lui aussi avait faim mais cela ne me dit rien qui vaille, s'ils commencent à sortir de leur citée maudite cela ne présage rien de bon, un démon en temps normal est déjà exécrablement dangereux, mais s'il est atteint de S'mesme en plus, je n'ose imaginer.

17/11/124:

Triste journée, j'ai retrouvé mon ami Jean-Pierre et deux de ses ouvriers errants dans une mine en plein milieu de la Lande de Sidimote, ils parlaient le S'mesme et m'ont jeté des oeufs de tofus pourris quand je suis arrivé, dégoûtant. Ma jolie barbe que j'avais lustrée il y a trois ans est à nouveau toute sale, je crois même qu'un Tofubleu l'Explosif y a fait son nid, ça expliquerait l'odeur de souffre, ces archimonstres sont des plaies. Je pars pour l'Ile de Nowel et mon journal se termine ici, avant que je retrouve du papier il faudra attendre que le fléau se termine. S'il se termine. Mort au S'mesme comme le disait Ilya.



Le Document s'arrête ici, avec une tâche de sang.
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